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 Leilan

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Leilan de Troy

Leilan de Troy


Nombre de messages : 1
Date d'inscription : 2008-02-03

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PostSubject: Leilan   Leilan EmptyMon 4 Feb à 11:56

Prénom :

Leilan

Nom :

/

Age :

18 ans


Date de naissance :

19 Avril

Poste désiré :

Maîtresse de magie

Grade :

Prêtresse

Animal de compagnie :

Aigle

Monture :

Cheval

Equipement :

Je possède un aigle prénommé Héphaistos. Il s'agit d'un aigle royal aux yeux d'or et au plumage brun clair et blanc. Ma jument se nomme Epona, elle a la corpulence très fine caractéristique des chevaux arabes. Sa robe est isabelle, ses crins noirs de jais. Ses yeux sont de la couleur des sables de la plage de Troie.
Je ne combats pas dans une tenue spécifique, je porte toujours une longue robe blanche drapée.

Description physique :

Je suis de taille moyenne, commune pour mon époque, ce qui se solde d'une hauteur légèrement inférieure à vos coutumes. Mes longs cheveux sont couleur d'or, toujours libres comme il incombe à une prêtresse. Je porte la robe blanche ornée de rubans et de bijoux argents que je dois à mon rang ; la couleur de mes yeux oscille entre le bleu et le gris pâle. Ma silhouette est fine, en accord avec celle des femmes de ma famille. La couronne argentée que je porte est symbole de ma fonction de prêtresse et non de mon appartenance à la maison royale de Troie. Mes traits rappellent ceux des miens, la noblesse des rois troyens.

Description morale :

Je choisis de devenir prêtresse d'Apollon à l'âge de 14 ans, ce qui m'écartait de fait des mariages d'alliances. J'ai toujours été très proche de mes cousins, princes de Troie, avec lesquels je grandis. J'ai toujours méprisé et dédaigné les hommes, leur orgueil, leur caractère belliqueux, leur cruel désir à l'égard des femmes. Jamais je n'aurai cessé d'aimer Troie, la belle, l'imprenable derrière ses hautes murailles ; Les grandes plaines traversé par un fleuve au cours puissant, l'immense plage sur laquelle était bâti le temple d'Apollon, dieu du Soleil, notre protecteur.

Histoire :

Je naquis au palais royal de Troie, ma mère était la soeur du roi Priam, aimé et respecté parmi son peuple. J'eus l'enfance choyée d'une princesse ainsi que l'amour de ma famille. Je grandis avec Pâris, mon cousin du côté de ma mère. Son frère plus âgé nous apprit l'équitation ainsi que le maniement des armes. Ma mère se désespérait de ma voir m'entraîner à l'épée, en revanche, les troyens m'aimaient pour ces différences. Je désirais plus que tout devenir chef de guerre ; ce fut au tour de mon oncle de s'y opposer. Nombreux des courtisans voulurent ensuite ma main ; ma mère me poussait dans cette direction. Quant à mes cousins, ils me protégeaient et me défendaient de ceux qui souhaitaient devenir trop proches de moi. Cette même année de mes 14 ans, je choisis de devenir prêtresse, et de prier chaque jour Apollon, notre bienfaiteur, de garder Troie de ses ennemis. L'année de mes 17 ans, mes cousins et moi furent invités à Sparte, l'une des puissances de l'Empire Grec, dont le souverain désirait s'allier à Troie. C'est alors que Pâris tomba amoureux d'Hélène, la splendide femme de Ménélas, notre hôte. Je l'aidai à mettre au point un plan afin qu'il puisse mener Hélène à Troie, loin de son mari qui lui faisait horreur. Nous partîmes quelques temps plus tard et gagnâmes Troie. Mon oncle accepta Hélène en tant que princesse troyenne malgré les réticences de certains des conseillers. Nous restâmes dans l'attente de signes des Grecs qui ne tardèrent pas à nous déclarer la guerre la plus sanglante de l'histoire. Tous les peuples grecs s'unirent contre Troie, qu'ils désiraient prendre depuis des siècles. Nombreux des chefs de guerre les plus renommés furent présents ; les bateaux arrivaient par centaines. Le jour de leur arrivée, ils débarquèrent sur la belle plage de Troie et pillèrent le temple d'Apollon. Les prêtres furent tués, les prêtresses capturées. Parmi elles, ma cousine, Briséis. Quand j'entendis ces nouvelles au palais, je souhaitai faire mes adieux à mes cousins et partir à leur secours. Pâris m'interdit de quitter le palais, Hector me jura qu'ils feraient tout leur possible pour sauver Briséis. Je les serrai contre moi et montai dans ma chambre. J'attendis la nuit pour fuir. Quoiqu'en disent les chefs de guerre, ils ne parviendraient pas à sauver les prêtresses par la force. Je gagnai les grandes portes et parvint à persuader l'un des gardes de me laisser sortir. Le sable se faisait doux sous me pieds, je retrouvai mon élément, enfin. Une légère brise soufflait, cette nuit là. Je descendis jusqu'au camp grec. Jusque là, mon plan fonctionnait à merveille ; l'ennuie était qu'il n'avait pas de continuation prévue. Les tentes grecques bordaient la plage sur des kilomètres, j'ignorais tout de la direction à emprunter. Je marchai alors, à l'affut du moindre bruit, du moindre cri. J'évitais soigneusement les rassemblements de soldats ça et là, regroupés autour de feux de camps, bouteilles à la main. Nul doute que Dionysos était avec eux, et je m'en réjouissais. Après quelques minutes de marche, je trouvais une tente plus riche et plus haute que les autres. L'éclat des voix de deux hommes résonnait, mêlées aux cris d'une femme. J'approchai lorsque le pan de la tante qui servait d'entrée vola vivement. Je me cachai derrière la tenture voisine et observai la scène. Un homme sortit, il avait le teint rouge vif et ses traits marquaient un âge mûr. Il tenait fermement une jeune fille par le poignet ; je la reconnu comme étant la fille d'un courtisan, ami de mon oncle. Elle avait la lèvre en sang, les cheveux emmêlés ; les drapés de sa robe lui glissaient des épaules bien qu'elle tentât de la maintenir en place. Un deuxième homme sortit à son tour. Il était plus jeune, vêtue d'une tunique de combat grecque. Son épée courte brillait de l'éclat de la lune, dans sa main. Ses cheveux étaient lisses et bruns, ses traits fins. Il empoigna l'autre homme par le haut de sa tunique et maintint l'épée contre son cou. Ce geste le contraint à lâcher prise sur la jeune prêtresse qui resta étendue au sol. Le vieil homme balbutia qu'il offrait cette fille au plus jeune. Je pensai alors qu'il avait tenté d'en tirer quelque prix auprès de son confrère... qui semblait avoir refusé. Il jeta alors le vieil homme au sol, ce qui lui arracha un cri. Il approcha de sa proie, plaçant son épée sur son cou. Quatre soldats arrivèrent alors, alarmés par un tel vacarme. L'homme aux cheveux bruns les rassura et leur ordonna de regagner leurs tantes ; il siffla un bref "disparaissez" au vieil homme. Il ne se le fit pas répéter, il se releva rapidement, empoigna la jeune prêtresse et partit, la trainant à moitié sur le sable. Je ne pouvais le laisser faire une telle chose, sans même réfléchir, je bondis de ma cachette et poursuivis le vieil homme. Le plus jeune m'intercepta avant que j'eus parcouru quatre mètres. Il me plaqua une main sur la bouche et attendit. Le vieux guerrier, trop occupé à tenter de traîner le jeune femme, n'avait rien entendu. Le jeune homme m'entraîna alors avec lui dans sa tante. Elle était immense, le sol était recouvert de tapis épais, les tentures, richement décorées. L'homme me fit asseoir, il me proposa de l'eau que je refusai avec mépris. Il sourit et vint s'asseoir près de moi. Il ne parla pas, ne me questionna pas. Il me regardait seulement en souriant. Je ne savais que faire ; j'étais convaincue que le moindre geste pour tirer mon épée me vaudrait la vie. En cet instant, peu m'importait, mais étant morte, je ne pourrais sauver mes amies. Je choisis donc de rester immobile, je le regardai à mon tour. Les yeux de l'homme étaient gris, je ne puis nier qu'il était le plus beau que j'eus jamais vu. Au bout de quelques instants, il se leva et alla prendre une pomme, dans un plat posé sur une table, au fond de la tante. Il revint s'asseoir à mes côtés et me tendis le fruit que je refusai, tout comme je l'avais fait avec l'eau. Il ne me quitta pas des yeux lorsqu'il croqua dans le fruit et mâcha lentement. L'odeur de la pomme me rappela que je n'avais pas dîné, ce soir là. J'avais faim. Il croqua à nouveau dans la pomme, puis me sourit ; à l'évidence, ma faim ne lui avait échappé. Il approcha le second côté du fruit de ma bouche, toujours sans un mot. Ses yeux restaient plongés dans les miens. Je ne sais quel mal s'empara de moi, mais je mordis dans la pomme à mon tour. Il demeura face à moi et me céda la totalité de cette nourriture que je mangeai lentement. D'une main, il écarta les mèches de mes cheveux qui me retombaient devant les yeux. Sa peau était douce contre la mienne. A ce moment il m'interrogea, il employait des mots qui brisaient mes défenses et faisaient fondre mon mépris. Il ne parut nullement surpris pas mon identité ou mon rang, ni même par la raison pour laquelle j'étais ici. Raison... ou déraison. Il me fit comprendre que je ne pourrais libérer mes amies et que lui même n'aurait pas ce pouvoir. Les peuples grecs avaient beau s'être alliés dans cette guerre, ils n'en demeuraient pas moins leurs propres maîtres. Je pleurai alors, désespérée et perdue je me rendais compte de mes erreurs, de la raison de mes cousins. L'homme me prit dans ses bras, je posai ma tête contre sa poitrine tandis qu'il me caressai les cheveux. Il m'avoua son nom, son histoire. Guerrier réputé parmi les siens, il connaissait nombreux des héros présents sur ce champ de bataille, et en détestait une bonne part. Il était venu ici dans l'idée de suivre son roi, qui se trouvait être en premier lieu son meilleur ami. Il s'était fait tuer par les armées grecques, alors qu'il avait tenté de s'élever contre Agamemnon, chef des grecs. L'homme ne voyait plus aucun intérêt à demeurer sur cette plage. Il me jura que jamais plus il ne blesserait un troyen ; je levai à nouveau les yeux vers lui, il était au bord des larmes. Il se leva cependant et alla chercher une nouvelle pomme qu'il m'offrit. Je mordis le fruit et le lui tendit en souriant. Il fit de même, en me reprennant dans ses bras. Nous mangeâmes le fruit ensemble tandis qu'il m'embrassait, je le laissai faire, ignorant s'il fallait ou non protester. Sachant pertinnement que je n'en avais aucune envie, je ne protestai pas. Nous passâmes la nuit ensemble. Les jours s'écoulèrent sans que ses hommes partent battre mon peuple, il restait à mes côtés, je l'aimais plus chaque jour. Un matin, il me demanda de partir en Grèce avec lui, je lui demandai de rester à Troie, mais il me fit comprendre que bientôt, ma cité ne serait plus. J'acceptai, j'ignore pourquoi je reniai ainsi mon passé mais je ne pouvais, je ne voulais l'abandonner. Il ressembla ses hommes, nouveau roi de la part de la Grèce qu'il avait héritée de son souverain. Les hommes chargèrent leurs navires et se préparèrent à lever l'ancre. Agamemnon nous rejoignit alors, il interdit à mon compagnon de partir ; l'intéressé lui répondit qu'il n'avait que faire de ses ordres et qu'il n'était pas son roi. Il lui ordonna de m'offrir à lui, ainsi il le laisserait partir. Il avait franchi la limite invisible qui lui interdisait une telle parole. Mon compagnon tira son épée et blessa gravement Agamemnon. Nous montâmes sur le navire et partîmes. Fou de rage, Agamemnom ordonna à ses hommes de couler notre bateau. Les boulets destinés à mon peuple vinrent briser notre mât, la coque de notre navire qui sombra à quelques encablures de la chère plage de Troie...


Où ai-je connu ce forum ?

C'est assez curieux en fait ! ^^ J'avais inventé une histoire avec une amie, le pays se nommait Atlanteiss... Il n'y a pas longtemps, j'ai tapé les noms des personnages et des lieux sur google pour voir s'ils existaient ! J'ai donc vu qu'il existait un RP avec le nom de mon pays pour titre ! Ca m'a intrigué ! Voula, vous savez tout, j'espère qu'on va bien s'amuser tous ensemble !

Comment je trouve ce forum ?

Il a l'air génial ! En réalité, je n'ai pas souvent joué dans des RP donc je ne me rend pas bien compte. J'aurais un peu besoin d'aide pour comprendre l'histoire si possible, j'ai lu plusieurs topics mais c'est assez compliqué ! Voila, merci d'avance !


Last edited by Leilan de Troy on Sun 16 Mar à 16:34; edited 5 times in total
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Sasuke Ughiwa

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Age : 35
Date d'inscription : 2007-11-23

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PostSubject: Re: Leilan   Leilan EmptySun 10 Feb à 12:59

Bienvenue sur Atlantéïs Leilan !
Ravi que tu vienne nous rejoindre ta fiche est très bien pour l'instant, j'espère que la suite le sera aussi. Smile
En espérant faire rapidement ta connaissance.
A bientôt Wink
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Shin Riyu

Shin Riyu


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Localisation : Dans un monde qui ne poura jamais ètre parfais.
Date d'inscription : 2007-10-22

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PostSubject: Re: Leilan   Leilan EmptyTue 19 Feb à 21:28

Salut salut ! Et bienvenu sur Atlenteïs !
Si t'a besoin d'aide pour quoi que ce soit n'hésite pas à m'envoyer un mp !!
Sur ceux, amuse toi bien !!
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PostSubject: Re: Leilan   Leilan Empty

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Leilan
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